Musique du carnaval de Limoux: elles sont incontournables dans le Carnaval de Limoux.
Musique du carnaval de Limoux. Le patrimoine musical du Carnaval de Limoux est riche de plus de 300 morceaux. L’essentiel du répertoire est l’œuvre de compositeurs des musiciens de la régions, qui pour certains ce sont inspirés de mélodies d’opéras (Fra Diabolo, La Belle Hélène..). Cette richesse musicale est transmise au fil du temps par les différentes générations de carnanvaliers et de musiciens. C’est ainsi que la tradition limouxine ce perpétue.
Adiu Pauvre (crémation farandole)
80 Pompiers (air matin)
Titounet:
Ramounet:
Plaisir d’Amour (air d’après-midi)
Pinsaguel:
Los Copin’s:
Les Nichons (air du soir)
Les Lanciers:
Le Chapeau de Paille:
Le Serpent à Sonnette ( air du matin)
Le Poupou de Maman (air du matin)
Le Pantalon (air du soir)
Un carreau cassé (air d’après-midi)
La Belle Hélène (air du soir)
L’Arrancopets (air après-midi)
L’Aissable (air après-midi)
Fra Diabolo (air après-midi)
Dominos et Pierrots (air après-midi)
Mido (farandole)
Crescendo (air après-midi)
Clair de lune (air matin)
Le Quentin (air matin)
Le Flambart (air matin)
Le Taillo (air matin)
Le Jo (air matin)
La Goulue (air après-midi)
François les bas bleus (air après-midi)
Le Limouxin (air après-midi)
Rêve enchanteur (valse)
Gisèle (air du soir)
Minjou (air du soir)
Conservatoire (air du soir)
Tripéou (air du soir farandole)
L’Arcadien
Lo Piosalenc
Las Fennos
Le Jacquet
Georjou
La classe
Pieusse
Le Sieur d’Arques
Le Carabinier
La Retraite Espagnole
Le Band’annois
Lous Pichous
Les Faïches
Titien
Lou Badaïre
Les Prunes (air du matin)
La diversité des instruments (trompette, clarinette, baryton, trombone à coulisse, basse, contrebasse, grosse caisse, caisse claire, hélicon), n’est pas un hasard, elle correspond à la volonté de coordonner le rythme au pas de danse, rythme d’ailleurs différent selon qu’il s’agit de la sortie du matin, de l’après midi ou du soir.
Les masques dansent seuls, les bras levés, le geste de la main soulignant la mélodie.
La carabène, prolongement de la main, tient une place capitale dans l’ensemble de la gestuelle, elle souligne l’élévation et la légèreté.
La main libre, comme l’autre, doit toujours se tenir au dessus des épaules. Miroir de l’autre, elle sert à équilibrer le mouvement ; c’est elle qui raconte l’histoire, qui décrit l’atmosphère, souligne la couleur d’une expression précise voulue par le Fécos ou Goudils.
C’est la pureté de ces gestes qui donne au Carnaval de Limoux tout son caractère solennel.