Parrains officiel du Carnaval de Limoux pour la bande las coudénos
Olivier VILLA (le fils) de Patrick SÉBASTIEN (le père)
Olivier VILLA (le fils) et Patrick SÉBASTIEN (le père) parrains de la bande de carnaval de Las Coudénos au coté de Jean Louis Duclaux.
C’est le 29 août dernier au cours de l’anniversaire pharaonique du président Jean-Michel Homs, que la bande de Las Coudènos, découvrit par l’intermédiaire d’une vidéo présentée par Jean-Louis Duclaux ses prestigieux parrains : Olivier Villa et Patrick Sébastien.
Le public connaît depuis longtemps le père : Patrick : « monstre » du show-biz adulé pour ses interventions télévisuelles, radiophonique ou ses ritournelles reprises dans toutes les fêtes. Un homme de cœur, de passion et de partage.
On découvre maintenant le fils : Olivier Villa, élevé dans aux mêmes valeurs et pétrit de talent. Le chanteur compositeur interprète, est aussi animateur. Par exemple, lors de 6 émissions sur France 2 intitulées « Le grenier de Sébastien » il fit un véritable « tabac » totalisant plus de 2 millions de téléspectateurs à 13h 50.
Jean-Louis Duclaux qui a fait la connaissance du jeune Olivier à peine âgé de 14 ans, partage depuis une profonde amitié avec cette étoile montante. Il lui a proposé de devenir le parrain de la bande de Las Coudènos dont il est le vice président, autour d’un verre place de la République.
Olivier Villa, qui venait de rencontrer les enfants de Limoux masqués, accepta d’enthousiasme et proposa avec l’extrême gentillesse qui le caractérise le concours de son père. Dont acte.
Jean-Claude Dreyfus fait ses débuts dans le spectacle à l’âge de 15 ans, en se produisant comme illusionniste dans des hôtels ou des cabarets. Il suit plus tard les cours de comédie de Tania Balachova. Durant les années 1970, il se fait connaître en se produisant en travesti dans divers cabarets. Il remporte notamment un grand succès en tenant la vedette de la revue La Grande Eugène,.
Il fait sa première apparition à l’écran dans le film expérimental What a Flash! en 1972, puis joue l’année suivante dans la comédie Comment réussir quand on est con et pleurnichard, de Michel Audiard, où il interprète un travesti de cabaret. On le voit ensuite dans de nombreux seconds rôles. Il collabore à quatre reprises avec Yves Boisset (sur Allons z’enfants, Le Prix du danger, Radio Corbeau et La Tribu). Il tient divers seconds rôles au cinéma, donnant la réplique à des acteurs comme Jean Carmet (Le Sucre), Jean-Paul Belmondo (Le Marginal) ou Jean Rochefort (Tandem).
Outre ses rôles sur scène et ses apparitions au cinéma, il se fait connaître du grand public en interprétant à partir de 1986 une série des spots publicitaires pour les plats cuisinés Marie, dans laquelle il tient le rôle de Monsieur Marie.
Les années 1990 et une double collaboration avec les cinéastes Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro marquent un tournant dans la carrière de Jean-Claude Dreyfus, qui accède désormais au cinéma à des rôles plus importants. Dans Delicatessen (1991), il incarne un inquiétant boucher. Dans La Cité des enfants perdus (1994) il est présenté sous la forme d’un étonnant dresseur de puces ( en compagnie de deux coudénes).